1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 la souffrance, ce que c’est que ma vie, ma mort. Mon Dieu , il n’y a plus qu’un glissement gris, sans fin… Il faudrait que je do
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
2 romantiques ». — Citez-m’en de ces phénomènes ! — Mon Dieu , que dire… Il y aurait, par exemple, ce fait du triomphe de la Machin
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
3 tation : — Vous avez gagné, c’est admirable, ah ! mon Dieu , je vous remercie, Monsieur… Il saisit son journal. Il en parcourait
4 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
4 umis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi, mon Dieu , m’as-tu fait contraire à toi-même, pourquoi suis-je devenu à charge
5 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
5 exte du mystique Heinrich Suso : Mon Seigneur et mon Dieu , ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu
6 tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu , donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et mon Di
7 ut ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu , arrache-moi à moi-même et donne-moi tout entier à toi seul ! Il n’e
6 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
8 ite… avec Dieu seul… Dorothée (faiblement). —  Mon Dieu  ! Nicolas. —  Longtemps, chère femme, j’ai lutté contre moi-même e
9 éternelle De ton bonheur immolé. Dorothée. —  Mon Dieu  ! Mon Dieu ! Oh ! je ne suis qu’une pauvre femme ! Comment pourrais-j
10 e ton bonheur immolé. Dorothée. —  Mon Dieu ! Mon Dieu  ! Oh ! je ne suis qu’une pauvre femme ! Comment pourrais-je te compre
11 is fois, des voix m’ont appelé ! Mais tu le vois, mon Dieu  : tout mon amour, tous mes devoirs sont là, dans la maison de mes anc
12 partir ? Ô si un signe, au moins, m’était donné ! Mon Dieu , secours-moi, parle-moi, ne permets pas que je me perde en ces ténèbr
13 r à bouche fermée.) Nicolas. —  Mon Seigneur et mon Dieu , ôte de moi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu,
14 oi tout ce qui m’éloigne de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu , donne-moi tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu
15 tout ce qui me rapproche de toi ! Mon Seigneur et mon Dieu , arrache-moi à moi-même, et donne-moi tout entier à toi seul ! Amen.
7 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
16 endra. Nicolas (à genoux). —  Mon Seigneur et mon Dieu , toi seul es notre force ! Toi seul es notre union, toi seul es notre
8 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
17 ! Ô Haimo ! j’ai tout quitté pour vivre seul avec mon Dieu , tout près du ciel. Et voici qu’il me faut maintenant quitter aussi m
18 , armes fourbies, regards de haine, sans un mot ! Mon Dieu  ! Mon Dieu ! Soutiens ton serviteur ! (Chant des Compagnons, en sour
19 rbies, regards de haine, sans un mot ! Mon Dieu ! Mon Dieu  ! Soutiens ton serviteur ! (Chant des Compagnons, en sourdine.) Ni
9 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
20 Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrais, mon Dieu , que la nuit ne finît pas, que mon ami pût rester près de moi, et que
10 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
21 umis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi, mon Dieu , m’as-tu fait contraire à toi-même, pourquoi suis-je devenu à charge
11 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
22 Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrais, mon Dieu , que la nuit ne finît pas, que mon ami pût rester près de moi, et que
12 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
23 umis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi, mon Dieu , m’as-tu fait contraire à toi-même, pourquoi suis-je devenu à charge
13 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
24 lée assise) (après la lecture, chant spontané : «  Mon Dieu , ta loi est sainte… mais si tu comptes nos iniquités, qui pourra subs
14 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
25 est révélé tantôt en majesté, — toute la prière «  Mon Dieu , ton serviteur » — tantôt par un lyrisme aérien, alpestre, cristallin
15 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
26 Dame jamais vue, qu’on ne connaît pas encore : «  Mon Dieu , quand pourrai-je seulement voir la bien-aimée, entendre le son de sa